Mon approche intégrative

« À quoi ça sert de voir un.e psy ? »

Au fil de ma pratique, j’ai constaté que la démarche d’aller « voir un psy » est souvent entreprise par nécessité, quand le mal-être dépasse un certain seuil, plutôt que par envie. La peur d’être jugé, étiqueté ou de se sentir encore plus mal après avoir parlé sont des freins souvent mentionnés. Ces appréhensions peuvent nous protéger mais aussi finir par nous isoler.

Consulter une personne « externe » peut être un bon compromis quand nos soucis sont trop lourds à porter mais qu’on ne souhaite pas les confier à ses proches, pour quelque raison que ce soit. Les psychologues sont également soumis au secret professionnel et respectent le devoir de confidentialité.

Même si voir un psy est heureusement de moins en moins tabou, le discours général oppose encore l’idée de « gérer ses problèmes tout seul » avec le fait d’être accompagné par un professionnel. Mon expérience en tant que psychologue et en tant que patiente m’a appris que partager son vécu et ses difficultés avec un autre être humain, dont c’est le métier d’écouter activement, renforce la capacité à sentir ce qui est juste pour soi-même et à se faire confiance.

Un suivi devient alors successivement le lieu où l’on recharge ses batteries, où on se remet en mouvement, où on explore en profondeur et où on prend de la hauteur.

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